Pages : 260 pages
Prix : 11,88
Edition : Witty
Resumé :
Tous les matins, Chloé se rend en voiture à son école privée ultrachic, vautrée sur la banquette arrière, avec sa peste de petite sœur, et tous les matins, elle regarde Monsieur Kipu, toujours assis sur le même banc, qu’il pleuve ou qu’il vente. Qui est-il ? Pourquoi vit-il dans la rue ? Que mange son chien ? Quand s’est-il lavé pour la dernière fois ? Et est-il possible qu’il s’appelle vraiment M. Kipu ? Toutes ces questions et d’autres encore, Chloé décide un jour d’aller les poser à monsieur Kipu en personne. Et lorsqu’il est question que son nouvel ami soit chassé de la ville, Chloé le cache dans la remise du jardin. Mais il se peut que Monsieur Kipu ait plus à cacher qu’il n’y semble au premier coup d’œil… ou de nez !
Avis de Milo :
Pourquoi ce livre ?
Car la couverture m'attirait, et que dès que j'eu fini de lire le résumé, je sûs que ça allait être un histoire merveilleuse.
La couverture :
Comme je l'explique plus haut, la couverture m'a attirait. On voit un homme, un clochard pour être plus précis à cotés de Chloé une jeune fille riche.
Bien ou mauvais ?
Bien...
Enfin... Un coup de coeur. On y retrouve Chloé jeune fille riche, qui
voit tous les matins de sa voiture, un clochard que tout le monde
prénomme Monsieur Kipu par rapport à son odeur. Elle se sent attiré par cette homme.
Elle veut découvrir son passé. Un jour, elle se décide à lui parler.
Elle commence à sympathiser avec lui, jusqu'à lui apporter de la nourriture. Un jour, elle décide de l'héberger dans la cabane du jardin. Mais un problème : sa mère se présente comme présidente et sa campagne est : De virer les clochards de la ville.
Le principe est intéressant.
Chloé n'ait pas comme sa soeur et sa mère, elle est gentille et
respectueuse envers les autres. Par contre, sa mère est agaçante. Elle
va en faire de son pleins gré d'aider Monsieur Kipu. J'ai même apprécier cette personne. Les illustrations à l'intérieur sont très jolies. Un grand bravo à Quentin Black. Et à l'auteur de nous avoir écris cette merveille. Malgré la courte longueur du livre, j'ai adoré.
Les points positifs : Super livre. Personnages atachants...
Les points négatifs : La courte longueur du livre.
Livres Coup de Coeur :)
lien de vente :
Extrait :
En odorama
M. Kipu puait. Il empestait. Il cocottait. Il schlinguait. Et si le verbe «schmoutter» figurait dans le dictionnaire, on écrirait ici qu'il schmouttait. Il était le pueur putride le plus pestilentiel qui ait jamais existé sur Terre.
Une odeur pestilentielle est la pire des odeurs ; la pestilence est pire qu'un remugle ; un remugle est pire qu'un relent ; et un relent peut déjà suffire à vous faire plisser le nez.
Mais si M. Kipu puait, ce n'était pas sa faute. Car voyez-vous, c'était un clochard. N'ayant pas de maison, il n'avait jamais l'occasion de se laver correctement comme vous et moi. Avec le temps, il était simplement devenu de plus en plus nauséabond. Voici un dessin de M. Kipu.
N'est-ce pas qu'il est chic, avec son noeud papillon et sa veste en tweed ? Ne nous y trompons pas, cependant. L'illustration ne rend pas justice à sa puanteur. Ce livre aurait pu être imprimé en odorama - on aurait pu en gratter les pages pour pouvoir renifler les odeurs -, mais dans ce cas il aurait pué si fort que vous auriez été obligé de le jeter à la poubelle. Et d'enterrer la poubelle. Très profond.
À côté de lui, c'est sa petite chienne noire, la Duchesse. La Duchesse n'avait pas de race particulière, c'était juste une chienne. Elle aussi empestait, mais pas aussi fort que M. Kipu, car rien au monde ne sentait aussi mauvais que lui. Sauf sa barbe. Celle-ci était pleine de vieux morceaux d'oeuf dur, de saucisse et de fromage tombés de sa bouche des années plus tôt. N'ayant jamais été shampouinée, jamais jamais, elle avait son fumet particulier, plus putride encore que la puanteur principale.
Auteur :
David Walliams, (de son vrai nom David Edward Williams), né le 20 août 1971, est un comédien et écrivain anglais.
Il est l'auteur de nombreux livres, dont :
M. Kipu puait. Il empestait. Il cocottait. Il schlinguait. Et si le verbe «schmoutter» figurait dans le dictionnaire, on écrirait ici qu'il schmouttait. Il était le pueur putride le plus pestilentiel qui ait jamais existé sur Terre.
Une odeur pestilentielle est la pire des odeurs ; la pestilence est pire qu'un remugle ; un remugle est pire qu'un relent ; et un relent peut déjà suffire à vous faire plisser le nez.
Mais si M. Kipu puait, ce n'était pas sa faute. Car voyez-vous, c'était un clochard. N'ayant pas de maison, il n'avait jamais l'occasion de se laver correctement comme vous et moi. Avec le temps, il était simplement devenu de plus en plus nauséabond. Voici un dessin de M. Kipu.
N'est-ce pas qu'il est chic, avec son noeud papillon et sa veste en tweed ? Ne nous y trompons pas, cependant. L'illustration ne rend pas justice à sa puanteur. Ce livre aurait pu être imprimé en odorama - on aurait pu en gratter les pages pour pouvoir renifler les odeurs -, mais dans ce cas il aurait pué si fort que vous auriez été obligé de le jeter à la poubelle. Et d'enterrer la poubelle. Très profond.
À côté de lui, c'est sa petite chienne noire, la Duchesse. La Duchesse n'avait pas de race particulière, c'était juste une chienne. Elle aussi empestait, mais pas aussi fort que M. Kipu, car rien au monde ne sentait aussi mauvais que lui. Sauf sa barbe. Celle-ci était pleine de vieux morceaux d'oeuf dur, de saucisse et de fromage tombés de sa bouche des années plus tôt. N'ayant jamais été shampouinée, jamais jamais, elle avait son fumet particulier, plus putride encore que la puanteur principale.
Auteur :
David Walliams, (de son vrai nom David Edward Williams), né le 20 août 1971, est un comédien et écrivain anglais.
Il est l'auteur de nombreux livres, dont :
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