Résumé :
Bienvenue dans le monde merveilleux de Cream-City! Tout est parfait dans
ce jeu virtuel: il ne pleut jamais, les maisons sont couleur de crème
glacée, et les Lovely sont la famille idéale...
Mais le jour où Corentin ordonne à l'un des personnages du jeu de faire autre chose que ce que le programme informatique autorise, tout se dérègle et Corentin se trouve projeté au coeur de la simulation. Lui qui croyait trouver le paradis, découvre que c'est presque l'enfer... Cream-City se transforme en Crime-City
Mais le jour où Corentin ordonne à l'un des personnages du jeu de faire autre chose que ce que le programme informatique autorise, tout se dérègle et Corentin se trouve projeté au coeur de la simulation. Lui qui croyait trouver le paradis, découvre que c'est presque l'enfer... Cream-City se transforme en Crime-City
Mon avis :
Pourquoi ce livre ?
Car je voulais (re)tenter le style de Gudule. Et j'ai vu cette "parodie" de Sims City. Je n'avait pas envie de l'acheter, alors quand je l'ai vu à la bibliothéque, j'ai sauté dessus.
Bien ou mauvais ?
L'histoire est bien, mais Corentin est assez "vicieux".
La couverture est jolie, je croit qu'ils sont prit une image de Sims. Alors retournons aux livres. Corentin vit avec sa mére, dans une maison, et il passe le plus bref de son temps sur l'ordi à jouer à "Cream Ciy". Un jour, il va demander à un "amis" d'enlever une chose qui est floué, mais le probléme c'est le logiciel qui va lui passer, va mettre un virus sur son jeu, les personnages vont commencé à disparaitre. Quand il va prendre l'anti virus, il va avoir un peu de magie, et va se trouvait dans un monde. Le monde de Cream-City, qu'il ne croyait si parfait, mais les personnages qu'il a créer ne seront pas ceux qu'il imaginé.
J'ai bien aimé le concept, mais je n'allait pas croire la fin comme ça, même on se dit que se passe-t-il à la fin.
Un bon livre jeunesse.
Les points positifs : Un bon concept, Un livre aussi qui montre que personne est parfait dans les jeux videos. Une intrigue bien mené. Et le style de Gudule qui me fait dire que je lirais quelques autres de ses ouvrages.
Les points négatives : Une fin où on ne sait pas ce qu'il passe.
15/20
L'auteure :
Nationalité : Belgique
Né(e) à : Bruxelles , le 01/08/1945
Né(e) à : Bruxelles , le 01/08/1945
Biographie :
Anne Duguël, pseudonyme de Anne Liger-Belair, connue sous le nom de Gudule, est un écrivain belge francophone.
C'est près de la capitale belge qu'elle vit jusqu'à l'âge de 19 ans, plus précisément à Ixelles. Déjà toute petite Anne se passionne pour la lecture et l'écriture. Plus tard, vers 12 ans, elle apprend à connaître des poètes célèbres tels que Victor Hugo, Rimbaud et des tas d'autres. Ceci a sans doute provoqué chez elle une sorte d'épanouissement car entre 1950 et 1965, elle rédige plus de 400 poèmes ainsi qu'une bonne dizaine de romans, dont, en 1957, le premier, "Le couvent maudit", en référence à son établissement scolaire.
Après avoir fait ses études dans l'art décoratif et crée des costumes durant un séjour au Liban, elle rentre en France, se consacre à la presse ("Ça Magazine" et "Le jour").
Anne Duguël, pseudonyme de Anne Liger-Belair, connue sous le nom de Gudule, est un écrivain belge francophone.
C'est près de la capitale belge qu'elle vit jusqu'à l'âge de 19 ans, plus précisément à Ixelles. Déjà toute petite Anne se passionne pour la lecture et l'écriture. Plus tard, vers 12 ans, elle apprend à connaître des poètes célèbres tels que Victor Hugo, Rimbaud et des tas d'autres. Ceci a sans doute provoqué chez elle une sorte d'épanouissement car entre 1950 et 1965, elle rédige plus de 400 poèmes ainsi qu'une bonne dizaine de romans, dont, en 1957, le premier, "Le couvent maudit", en référence à son établissement scolaire.
Après avoir fait ses études dans l'art décoratif et crée des costumes durant un séjour au Liban, elle rentre en France, se consacre à la presse ("Ça Magazine" et "Le jour").
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